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Bain dérivatif : effets indésirables ou crise de guérison ?

By Philosophine | Beauté Santé

Je reçois régulièrement de chouettes témoignages de personnes qui pratiquent le bain dérivatif avec succès. Si vous n’avez jamais entendu parler de cette méthode ancestrale, je vous conseille de consulter mon premier article sur le sujet : L’incontournable bain dérivatif. Il est l’un des articles les plus consultés sur le blog !

effets indésirables

Je reçois aussi beaucoup de questions, notamment sur les fameux effets indésirables. « Est-ce que tel symptôme peut être considéré comme un effet indésirable ? », « Combien de temps cela va-t-il durer ? », « Dois-je arrêter le BD ? »

Avant de répondre à ces questions, j’aimerais vous partager l’incroyable expérience que j’ai vécue l’été dernier.

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J’ai jeûné durant 5 jours pour bien commencer l’année !

By Philosophine | Je me régénère , Le jeûne , Se nourrir

Quelques mots sur ma dernière expérience de jeûne, ça vous dit ? Oh je sais que vous aimez les témoignages de jeûne ! J’ai jeûné durant 5 jours pour bien commencer l’année !  Allez, on y va !

Rétrospective de 2017

L’année 2017 n’a pas été très chouette en terme de santé/bien-être. J’ai été forcée de mettre entre parenthèses ma régénération et de lâcher prise sur mon alimentation pour me sortir d’une situation énergivore. Ayant été en hyper-vigilance nuit et jour durant de long mois, mon système nerveux a été sollicité plus qu’il ne pouvait le supporter. Petit à petit, j’ai replongé dans l’alimentation « réconfort » : sucre, gluten, produits laitiers, plats chauds et consistants.

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Ma cure pré-automnale : monodiète de raisin, purge & cataplasme à l’huile de ricin.

By Philosophine | Je me régénère , Se nourrir

Septembre 2016 fût un mois de nettoyage énergétique intense. Peut-être l’avez-vous ressenti ou suivi à travers la météo astro-énergétique. Pour moi, il a été particulièrement chargé, je me suis retrouvée face à des peurs viscérales suite à quelques événements extérieurs empreints de violence. Je ne vais pas étaler mes problèmes personnels ici mais il me faut établir le climat dans lequel j’ai baigné durant cette monodiète de raisin. Bien qu’ayant calmé le mental à coups d’EFT et d’Hoponopono, ces perturbations ont mis mon corps dans un état de stress durant plusieurs semaines (sens en alerte, tremblements, réveil en sursaut etc.).

cure de raisin

De ce fait, je n’attendais pas de cette cure un bien-être absolu. J‘espérais qu’elle m’aiderait à passer cette période avec davantage de sérénité, à avoir les idées claires pour prendre de bonnes décisions. On pense souvent à tort que dans les périodes difficiles, nous avons besoin de manger davantage pour avoir un maximum d’énergie. Au contraire, s’abstenir de manger ou alléger sa digestion (qui n’est forcément pas top en période de stress) permet de garder son énergie pour mieux faire face.

Dans cet article, je vous fais part de trois expériences faites au cours de ce mois de septembre : la monodiète de raisin, la purge et le cataplasme à l’huile de ricin.

La monodiète de raisin :

Quels raisins ai-je choisi ?

J’ai pris tout ce qu’il y avait dans mon magasin bio (toutes les sortes hein pas tout le raisin) en favorisant les moins chers et réservant les autres comme petit plaisir. J’ai un budget alimentaire de 6 à 8 euros maximum par jour. Parmi ceux-ci : Danlas, Alphonse Lavallée, Muscat, Cardinal, Sans pépin et Italia. L’Italia n’est pas ce qu’il y a de mieux pour une cure, sa peau étant épaisse, il est préférable de la recracher. Cela dit, il reste l’un des moins chers.

Le raisin rouge riche en tanins est particulièrement astringent. Je ne le supporte qu’en petite quantité.

raisin

Déroulement de la cure :

Les premiers jours, j’ai fait des petits repas tous les 3-4h à partir de 12-14h (je mange rarement le matin) représentant 1 à 2kg de raisin au total. En milieu de cure, j’ai commencé à saturer du raisin et du sucre. J’ai naturellement espacé mes prises pour ne faire plus que 2 repas par jour, soit 1 à 1,5 kg de raisin tout en me sentant rapidement rassasiée.

Lassée je me suis arrêtée au 11ème jour avec de fortes envies de vert, de gras, de crudités, de salades, d’avocat… mais étonnamment, que du cru, pas de cuit.

Les effets :

La fatigue et quelques nausées se sont faites ressentir le premier jour, certainement dû au fait que je n’ai pas fait de transition et que mon alimentation des jours précédents n’était pas au top. Comme dit plus haut, j’étais dans une période délicate, emplie de stress. Une congestion de la partie supérieure s’était resintallée de manière chronique avec symptômes allergiques dont production et évacuation de mucus. Je comptais sur la cure de raisin pour m’en débarrasser comme je l’ai déjà fait précédemment grâce au jeûne.

Détox : peu présente bien qu’elle se soit manifestée par ces éternelles réminiscences des goûts de mon enfance. Cette fois-ci, c’est le pain marocain de Fatima qui me revient en tête et le taboulé de ma voisine de l’époque. Je devais avoir 12 ou 13 ans. Ces sensations ne durent jamais bien longtemps, un jour ou deux mais elles sont pour moi le signe d’un nettoyage en profondeur.

J’ai brièvement eu envie de poisson durant une journée. Je me suis alors demandée si mon corps faisait appel à des produits animaux par besoin ou si c’était une simple réminiscence. Cette envie est partie très rapidement, j’en conclus que ce n’était pas important.

Un transit au top : je n’ai pas de problèmes particuliers de ce côté mais je remarque qu’il est encore meilleur malgré une petite quantité d’aliment ingérée.

Poids : l’avantage de la monodiète, c’est que les personnes en sous-poids peuvent tenir le rythme plus longtemps que lors d’un jeûne du fait que le poids descend plus lentement. Du moins, c’est ce que j’ai pu remarquer dans mon cas.

Energie : suffisamment bonne pour faire une marche de 10 kms (soit 17513 pas) au petit matin du 4ème jour.

cure de raisin
podomètre

Conclusion :

Une expérience que je ne qualifierai pas d’exceptionnelle à cause du contexte défavorable mais qui m’a permise de traverser les difficultés avec plus de sérénité.

La monodiète de raisin ne m’a pas débarrassée de la congestion, ce qui m’a d’ailleurs étonnée en comparaison avec mes expériences passées. Après auto-observation, je pense que cet état est davantage lié au stress qu’à la nourriture ou poison ingérés. La preuve en est que quelques semaines après, le stress a diminué, la congestion aussi.

J’ai une fois de plus pris conscience que la nourriture ou l’absence de nourriture ne résout pas tous les problèmes mais favorise un état de clarté mentale propice au travail sur soi et à l’ouverture spirituelle.

La purge à l’huile de ricin :

Tantôt prônée pour ses bienfaits, tantôt rejetée pour son côté « violent », la purge à l’huile de ricin semble faire de nombreux adeptes. Particulièrement recommandée par Irène Grosjean, elle permet de nettoyer, désengorger le tube digestif en quelques heures. Pour plus d’informations sur la détox par les purges, je vous renvoie à cet article : Se détoxer ou se purger : quelle méthode adopter pour nettoyer son corps de l’intérieur.

Ayant déjà fait maintes purges au sulfate de magnésium (ou sel d’Epspom) dans le cadre d’un nettoyage du foie et ayant eu des réactions assez violentes (fortes diarrhées 2h après chaque prise conduisant à un épuisement général du corps) j’avais quelques appréhensions quant à cette purge.

Voulant m’épargner des désagréments nocturnes, j’ai opté pour une prise le matin, à jeun, au 5ème jour de ma monodiète de raisin, réservant ma journée à la détente.

Où trouver de l’huile de ricin ?

On en trouve dans certaines pharmacies (préparation) mais n’oubliez pas de demander si elle est bien extraire à froid.

Sinon, vous pouvez l’acheter en ligne en cliquant sur l’image.

huile de ricin

​(Rassure-toi, aucun castor n’a été pressé pour la fabrication de cette huile !)

Prise du mélange et ressentis :

Le goût est moyen, la texture très épaisse. J’ai bu le tout en 4 gorgées à l’aide d’une large paille. Cela dit, je m’attendais à pire pour avoir eu l’occasion de boire un breuvage assez similaire lors des nettoyages du foie. Cette fois-ci, pas de nausées, pas de réactions particulières au cours de la journée hormis une légère somnolence. Ce n’est que le soir avant l’heure du coucher que le besoin d’évacuer s’est fait sentir. Quatre évacuations au total, rien de violent comme j’ai pu le vivre avec le sulfate de magnésium quelques années auparavant.

Pas d’effets particuliers les jours suivants, pas d’exceptionnel bien-être comme j’ai pu le lire parfois.

Posologie : 

  • 3 cuillères à soupe d’huile de ricin
  • le jus d’un pamplemousse fraîchement pressé

(À ajuster selon les besoins et la sensibilité de chacun, ne pas dépasser 4 cuillères à soupe d’huile de ricin. Après, tu fais comme tu veux mais je me décharge de toutes responsabilités quant aux désagréments occasionnés suite à l’abus d’huile de ricin)


Ce que j’en pense :

Mon avis est partagé quant à cette purge. Après un partage d’expériences entre amis, j’en déduis qu’elle s’avère certainement utile en cas d’urgence, d’un besoin de désengorger rapidement le tube digestif. Pour moi qui prends soin de mes intestins depuis plusieurs années à l’aide de plantes, de lavements réguliers et d’une alimentation adéquate et ayant un bon transit, la purge a eu très peu d’impact sur mon corps.

Une seule expérience ne suffisant pas pour en tirer des conclusions, je réiterai certainement cette expérience dans un contexte autre que la monodiète de raisin.

​Mélange ricin / pamplemousse

Si ce n’est pas méga super bon, ça a le mérite d’être beau

(Tu as peut-être déjà remarqué que l’art de faire quelque chose de beau avec n’importe quoi comptait beaucoup dans ma vie ! )

Cataplasme à l’huile de Ricin

Au 7ème jour de ma monodiète de raison, je décide d’expérimenter le cataplasme à l’huile de ricin (pour plus d’informations sur son action et son usage en externe, cliquez ici). Ce jour-là, je venais de faire une longue séance d’EFT, car comme je vous le disais en introduction à cet article, ce mois de septembre a été particulièrement chamboulant au niveau personnel. De ce fait, j’ai pensé qu’il serait bon de faire un cataplasme au niveau du plexus solaire pour me libérer d’un trop plein d’émotions.

Protocole : imbibez un tissu d’huile de ricin, posez-le sur le partie à traiter (on peut y ajouter une serviette épaisse afin d’éviter d’en mettre partout.) Placez une bouillotte bien chaude par dessus.

Au bout d’une vingtaine de minutes, je me suis endormie (moi qui ne m’endors jamais en journée…). J’ai laissé reposer une heure. Une demi-heure plus tard, je me retrouvais en pleurs, évacuant ce trop plein d’émotions pour ensuite me sentir mieux.

C’est une expérience que je réitérai sans doute tant j’ai apprécié les bienfaits libérateurs.

​N’hésitez pas à me faire part de vos expériences de monodiète de raisin, de purge ou de cataplasme à l’huile de ricin dans les commentaires ci-dessous.

Si tu as aimé cet article, tu aimeras peut-être lire mes articles sur mon expérience du jeûne : Jeûne au jus et à l’eau, J’ai jeûne 5 jours pour bien démarrer l’année ou encore Jeûne alterné/intermittent/aléatoire.

Première randonnée en mode frugivore #parcours d’une apprentie régénérée

By Philosophine | Je me régénère , L'âme en éveil

Il y a deux ans, j’arrêtais la randonnée après 20 ans de marche avec le même groupe. J’ai commencé toute jeune, j’avais 8 ans. J’adorerai tellement ça. A la maison, c’était un peu notre unique moyen d’échapper à un quotidien fortement anxiogène. On allait « recharger les batteries ».

J’aimais les montagnes et ses magnifiques paysages, l’air de la forêt, l’odeur des sapins, manger sur l’herbe, sur des gros cailloux où dans une cabane les jours de pluie, dormir dans un refuge des amis de la nature

J’aimais aussi la bonne ambiance du groupe, les partages, les déconnades dans les dortoirs à l’heure du dodo… Tout le monde se lâchait, un peu trop parfois.

Première randonnée en mode frugivore

Physiquement, je devais fournir beaucoup d’efforts pour suivre le rythme. Ma santé n’était pas au top, je souffrais de maux de tête avec accentuation à l’effort ou à la chaleur, de douleurs articulaires à la hanche et au genou, des difficultés respiratoire dues aux diverses allergies, éternuements, conjonctivites… Seulement, à cette époque-là je raisonnais en terme de souffrance/récompense. Plus je souffrais, plus j’imaginais en tirer de bénéfices.

J’emportais aspirine, cortisone, somnifères, sérum physiologique, huiles essentielles… J’avais beaucoup de difficulté à m’endormir. J’angoissais à l’idée de passer une nuit blanche et je m’assommais à coup de cachets.

Première randonnée en mode frugivore

Château du Haut-Koenigsbourg - Alsace

Au fil du temps, ma vision des choses a évolué. Bien que j’aimais toujours ce moment de partage et de nature, je ne voulais plus souffrir inutilement. Les randos se complexifiaient d’années en années tandis que j’aspirai à moins d’efforts pour plus de contemplation et de présence à soi. En parallèle, j’ai commencé à changé mon mode de vie. Je ne me sentais plus en accord avec le groupe tant sur le plan alimentaire que sur la vision de la vie. J’étais en recherche de quelque chose de plus spirituel.

J’ai continué les randonnées parfois un peu à contre-coeur jusqu’au jour où je me suis tordue la cheville et déchiré les ligaments. Premier accident en presque 20 ans, signe que je ne devais plus m’imposer cela. Je me suis promise d’arrêter. 

Première randonnée en mode frugivore

Vue depuis le Haut-Koenigsbourg

Après deux années (seulement) de pause, je n’ai pas pu résister à l’appel du Haut-Koenigsbourg mais à une condition : je ne m’impose quoique ce soit qui me fasse souffrir quitte à passer pour la fille chiante et bizarre. Ayant encore évolué sur le plan alimentaire, j’ai eu très envie d’expérimenter cette fois-ci la rando en mode frugivore.

J’ai profité que nous n’étions très peu nombreux pour faire cette expérience, car habituellement les tentations sont grandes entre le traditionnel couscous de Jean-Pierre, la mirabelle de Denis… Chacun apporte sa « spécialité » et « Tiens vas-y, goûte-moi ça ! » 

Première randonnée en mode frugivore

Vue sur la pleine brumeuse depuis le Haut-Koenigsbourg

Ma rando en mode frugivore :

En voiture la veille, j’ai très peu mangé : un jus vert tout au long de la journée, des fruits et de la salade le soir. J’ai débarqué au refuge avec mes gros cartons de fruits, j’ai prévu beaucoup trop par peur de manquer. Comme c’était une première je n’ai pas su évaluer mes besoins mais c’était plutôt drôle. Je m’étais préparée aussi de la salade (je suis fan de mâche et de roquette en ce moment), quelques crudités, des petites bouteilles de Quinton/spiruline et des jus du dodo (pomme/céleri/ashwagandha). 

Première randonnée en mode frugivore

Tombe de l'ermite

1er jour :

Pas de petit-déjeuner hormis quelques myrtilles (à chaque fois que je me suis laissée tentée par un petit-déjeuner de rando typiquement gargantuesque, je l’ai vite regretté quelques heures après !)

Départ à 10h : Remarque, mon sac est drôlement plus lourd que d’habitude…

Pause de midi : deux oranges et un pamplemousse (jusqu’à satiété), les salades de riz aux lentilles et les sandwichs au fromage ne me donnent pas envie. Pire ! Les odeurs m’incommodent, je crois que mon nez n’a plus l’habitude.

Pause à 16h : deux bananes, quelques oléagineux et fruits secs.

Première randonnée en mode frugivore

Des fruits !

​Le soir : Si durant la journée j’ai tenu à suivre strictement mon régime frugivore pour des raisons de bien-être, de confort et parce que je voulais en faire une expérience à part entière, le soir je me suis laissée aller à manger ce qui me faisait envie : une mangue en début de repas, de la soupe, de la salade et crudités, une fine lamelle de fromage juste pour le gout (le truc auquel je ne peux résister mais que mon corps ne supporte plus du tout) un tout petit morceau de brioche faite maison et un fond de verre de vin blanc mais ça j’aurai pu m’en passer, je n’ai pas apprécié.

Il y avait des pâtes à la crème, du saumon, du jambon, du pain, des yaourts etc… tant de choses qui ne me donnent plus envie. Le pire étant les pâtes. Autant je les ai trouvées jolies dans leur emballage en plastique (c’était des papillons colorés aromatisés à la tomate et à l’épinard), autant je les aies trouvées repoussantes une fois cuites et toutes délavées.

Un jus pomme/céleri/ashwagandha pour terminer cette journée. 

Première randonnée en mode frugivore

Jésus libéré de sa croix - Sur le tombe d'un ermite

Jour 2 :

Réveil vers 6h30 : une énergie au top ! Un jus Quinton/spiruline et quelques myrtilles en guise de petit-déjeuner avant le départ prévu à 8h30.

Pause de 11h30 : deux bananes et quelques dattes

Pause de 12h30 : un bon melon (le tout premier de la saison !) arrosé de Quinton. Mûr à point, un délice !

Et plus rien jusqu’à 17h.

Première randonnée en mode frugivore

Mais où se cache le sanglier ?

Bilan de ma première randonnée en mode frugivore :

C’était une première pour moi que de me délester totalement de toutes ces habitudes prises durant ces 20 dernières années. Et je n’ai pas regretté ! Une énergie au top du matin au soir, une digestion très facile sans coup de barre. D’ailleurs, ça m’a fait bizarre de ne pas sentir cette habituelle sensation de lourdeur après la pause du midi qui nous fait redémarrer la marche lentement. Cette légèreté est vraiment agréable.

Un transit au top !! Généralement après des heures de route, des changements d’habitudes comme dormir hors de chez soi, j’avais tendance à la constipation ce qui est très inconfortable quand on marche, sans parler des répercussions sur le mental. De ce côté-là tout est réglé

Première randonnée en mode frugivore

La tour des Sorcières, Châtenois - Alsace

Mon sac était un peu lourd, j’ai emporté trop de fruits parce que je ne savais comment mon corps réagirait avec l’effort, au final je me suis contentée de peu et sans aucune restriction.

Depuis quelques années déjà je n’ai plus beaucoup de symptômes allergiques, ni de maux de tête mais j’avais encore des douleurs articulaires. Cette année, je n’ai rien eu. Évidemment, plus aucun cachet… ni pour dormir, ni pour survivre (lol), c’est très appréciable.

J’ai remarqué aussi que mon intuition et ma perception du subtil s’aiguisaient. D’habitude je peine à me connecter aux énergies de la nature lorsque je suis dans un groupe qui n’est pas spécialement branché sur ce genre de choses. Et bien là, c’était plus naturel et j’ai même vécu une petite expérience sympa sans savoir si elle sort de mon imaginaire ou si c’était vraiment réel. Mes perceptions s’aiguisent dès lors que je ne mange que des fruits.

Première randonnée en mode frugivore

Fontaine

Une meilleure sociabilité :

Je me suis sentie également beaucoup plus sociable qu’en tant normal. Pour vous donner un exemple, lorsque tout le monde s’affole aux tâches ménagères, je reste en retrait par manque de repères, parce que je n’arrive pas toujours à bien coordonner mes mouvements. Cette fois-ci, je me suis impliquée tout naturellement dans les tâches (vaisselles, ménage etc…) avec une bien meilleure clarté d’esprit et coordination des mouvements. D’ailleurs, j’ai même eu des difficultés à rester assise sur ma chaise, tant j’avais ce besoin de bouger. Et puis, depuis que je vis parterre au quotidien, je n’apprécie plus du tout les tables et les chaises que je trouve fortement inconfortables.

Première randonnée en mode frugivore

"Que notre langage jaillisse pur et limpide tel la source de la montagne. "

A mon grand étonnement, je n’ai pas eu de remarque de la part des autres personnes. Faut dire qu’ils commencent à avoir l’habitude… chaque année je collectionne une bizarrerie de plus… ou bien peut-être ont-il inconsciemment perçu que j’étais plus à l’aise.

Avant on m’aurait dit des choses du genre : « pour une fois, tu peux bien faire une exception ». Oui bien sûr que je peux faire des exceptions et même que j’en fais souvent, très souvent. Mais je choisis le bon moment. Faire un écart un soir en ayant prévu de glandouiller le lendemain toute la journée ne me pose aucun problème. Faire un écart une veille de randonnée en sachant très bien que je prends le risque de mal dormir, d’être vaseuse au réveil et de n’avoir aucune énergie durant la journée avec des répercussions sur le mental, c’est être un peu maso. 

Conclusion… vive la randonnée en mode frugivore !

Ma routine santé du moment #Parcours d’une apprentie régénérée

By Philosophine | Je me régénère

Dans mon article précédent j’évoquais les idées en vue d’améliorer le quotidien de la colocation régénère. Quelques changements ont été apportés nous facilitant la vie à tous les deux, mon coloc et moi.

Nous nous sommes mis d’accord pour que je l’aide dans son quotidien. Notamment pour les courses et l’épluchage de légumes en plus de la confection des jus. 

ma routine santé

Ce qui lui évite de faire appel à des inconnus et me permettant une meilleure organisation et gestion de la cuisine. L’équilibre devrait se faire petit à petit.

De mon côté, j’ai mis en place une petite routine, disons plutôt un fil conducteur que j’adapte chaque jour en fonction de mes besoins et des événements extérieurs.

Connaissez-vous les « morning routine » ? Un phénomène qui fait fureur chez les midinettes youtubeuse. Le principe est de filmer sa routine de matin, du réveil au moment de partir au lycée en passant par le petit déjeuner, la douche, les lonnnnngues séances make-up… Allez donc en visionner quelques unes, ça vaut le détour ! Si j’avais le courage et les moyens techniques, je vous l’aurais bien faite en version apprentie régénérée, ça aurait pu être très drôle. En attendant que je me décide, voici ma « day routine » du moment (comme d’habitude, je n’incite personne à me suivre mais à trouver ce qui lui convient). 

Le brossage à sec de la peau

C’est la première chose que je fais au réveil – après le pipi. :p Ça stimule, remue la lymphe, nettoie la peau en profondeur (voyez un peu toutes ces particules qui volent !) et réchauffe le corps. Pour se faire, j’utilise une brosse pour le corps et une brosse pour le visage, plus douce. J’en profite pour brosser mes cheveux alliant démélage, massage du cuir chevelu et répartition du sébum sur les longueurs.

L’oil pulling (ou bain de bouche à l’huile) :

Deuxième geste important de la journée. J’utilise l’huile de coco que je garde en bouche au minimum 20 minutes et je termine par un léger brossage avec un dentifrice fait maison. Je ne m’attarde pas plus sur le sujet, je prépare une page spéciale destinée à la régénération des dents rassemblant diverses informations pertinentes.

Plantes et compléments :

Je me suis confectionnée quelques uns des mélanges de Thierry Casasnovas que l’on trouve chez ABC de la nature. J’ai acheté les plantes principalement à l’herboristerie du Valmont. J’ai opté pour Balain intestinal, Inflestins, Glandes endocrines, Glandes surrénales, Lymphe, Os et Structure et Cerveau et système nerveux avec de la poudre de ginkgo biloba made in Brasseitte (p’tit clin d’oeil au tonton). Ajoutons à cela des gélules de Rhodiola et d’huile de foie de morue et quelques gouttes des mélanges du docteur Morse (Lymphatic system & Gland Tonic) que m’a donné mon coloc.

Psyllium

Une bonne cuillère à soupe de psyllium dans un grand verre d’eau tiède tous les soirs pour faire de beaux popos bien moulés le lendemain – et au passage, passer un coup de balai dans les intestins

Les jus verts

Pris en entre 12h et 14h, ils constituent mon premier repas de la journée. Jusqu’à maintenant j’y ajoutais quelques pommes pour adoucir le gout de la verdure. Or, depuis ma cure de jus et la découverte de nouvelles recettes, j’ai remplacé les pommes par de l’eau de Quinton pour un jus bien vert et légérement salé. Parfait pour se reminéraliser.

Les repas

C’est vraiment au feeling que je décide de ce que je vais manger. Je n’ai pas d’heure, je m’adapte selon mes besoins et mes activités. Dans l’ensemble, je mange relativement peu du moins si je compare à une alimentation traditionnelle ou encore avec mon coloc qui avale de sacrées belles quantités de légumes par jour. Mon alimentation est faite de 90% de fruits et légumes crus ou cuits vapeurs, des jaunes d’oeufs, quelques graines et noix, de la graisse sous forme d’huiles et notamment l’huile de noix de coco et parfois quelques aliments moins physio selon mon état émotionnel.

La coco fraîche

Mon caprice du moment. Je m’en fais une par jour. Soit je bois l’eau et mange la chair à part. Soit je mixe le tout pour en faire un lait onctueux auquel je rajoute une cuillère de beurre de coco. Si j’avais les moyens, je ferais une monodiète ! Mais à 2,5 euros la coco, c’est déjà un grand privilège de pouvoir s’en offrir une quotidiennement pour un temps.

Le kéfir

Excellente boisson probiotique, elle fait désormais partie de mes habitudes. Je prépare 1L tous les 10 jours environ. Pour en savoir plus sur la fabrication du kéfir, je vous recommande cette page : Le kéfir de fruits ou kéfir d’eau.

Le sport

J’ai toujours été une grande marcheuse, j’aime ça. Depuis que je suis en ville, je marche encore plus et quotidiennement, évitant les transports en commun dès que je le peux. La marche c’est bien, mais ce n’est pas suffisant. Ayant l’intention de muscler et modeler tous les corps, j’ai opté pour quelques exercices quotidiens de fitness et autres trucs du genre dont je ne connais les thermes exacts, le sport n’ayant jamais été mon domaine de compétence.

Les lavements

Au besoin. Une, deux fois dans la semaine ou pas du tout. A ce propos je vous renvoie à cet article : Un détraqueur dans mon ventre.

Le bain dérivatif

Je n’ai pas toujours le temps de le faire le matin, c’est pourquoi je suis en train de le mettre en place dans ma routine du soir. De plus, refroidir le corps facilite l’endormissement. A ce sujet, un article qui pourrait vous intéresser : L’incontournable bain dérivatif.

Méditations, réflexions & lectures

Je médite beaucoup dans l’action, c’est à dire pendant la marche, les tâches ménagères etc. Mais j’essaie également de me poser et de me recentrer. Un exercice que j’aime beaucoup est l’une des variantes de L’exercice de l’arbre permettant l’ancrage. Il fût un temps où je lisais beaucoup de livres sur les capacités du cerveau humain, mon premier dans ce domaine : Psycho-cybernétique. J’ai beaucoup aimé cette brève période de ma vie ou je découvrais le potentiel humain, la loi d’attraction etc… mettant en oeuvre de nombreux exercices avec succès.

Puis ma vision de la vie s’est élargie vers quelque chose de plus spirituel, de divin. J’ai laissé tomber ces pratiques de développement personnel qui prône la réussite. Aujourd’hui, je réintègre quelques uns des petits exercices de visualisation et d’auto-hypnose adaptés cette fois à ma nouvelle compréhension de la vie. Je suis convaincue que c’est en alliant plusieurs domaines (physiologie, spiritualité, développement personnel, ésotérisme etc…) qu’on peut comprendre le but de notre existence, et accomplir ce pourquoi nous sommes ici, sur Terre.

L’exploration d’un seul de ses domaines est limitant. Actuellement je le lis deux livres : Se nourrir en conscience, de Gabriel Cousens et Le Livre des Tables : Les séances spirites de Jersey, de Victor Hugo soit deux domaines totalement différents mais tout deux passionnants.

Les rythmes de sommeil

Trouver un rythme physiologique que je n’ai jamais eu. J’ai toujours eu des soucis d’endormissement d’aussi loin que je ne me souvienne. Petite déjà je mettais heures à m’endormir, je ne faisais jamais de sieste. Je ne m’endormais jamais dans la voiture comme la plupart des enfants en bas âge. Je n’étais pas non plus hyper-active, les yeux toujours grands ouverts je passais mon temps à observer le monde qui m’entoure. 28 ans plus tard, ça n’a guère changé. Si ce n’est que j’ai vécu comme une noctambule durant une bonne dizaine d’années. Fatiguée le jour, en pleine forme la nuit… Dérégulation des fonctions du cortisol.

J’essaie donc de reprendre un bon rythme, petit à petit, sans trop me brusquer ni me frustrer jusqu’à atteindre mon rythme physiologique. Ma première étape est d’arriver à ne plus manger après 21h30, couper l’ordi avant 23h, me coucher avant 23h30 et me lever avant 9h le lendemain matin.

Et voilà ! Avec toutes ces petits choses mises en place, je devrais me sentir mieux au cours des prochaines semaines. Comme je l’ai mainte et mainte fois dit, le but de la régénération n’est pas la recherche d’une pureté ni d’un idéal. Le régénération doit permettre à chacun d’être en mesure d’exploiter son potentiel humain et de jouir de la plus belle des vies terrestres. Tout simplement.

On se retrouve bientôt ! 

Jeune : Le bilan.

By Philosophine | Le jeûne

Je vous retrouve aujourd’hui pour un bilan post-jeûne. Il me fallait prendre du recul sur l’expérience et observer les changements sur mon corps.

Actuellement, j’ai reperdu cette fabuleuse énergie ressentie pendant les premiers jours du jeûne. Les énergies de l’automne semblent puissantes et déstabilisantes. Rajoutons à cela la préparation de mon déménagement qui chamboule mon quotidien. Bref, beaucoup de facteurs extérieurs m’empêchant de me concentrer d’avantage sur ma santé.

C’est pourquoi mon alimentation est un peu aléatoire ces derniers jours. J’ai hâte de me poser dans ce nouvel appart et de reprendre de bonnes habitudes.

Mais revenons sur l’expérience de mon « mini-jeûne ». Deux jours de jus verts, deux jours d’eau, puis à nouveau deux jours de jus et reprise d’une alimentation solide. Bien qu’il n’ait pas duré longtemps, les effets bénéfiques se sont faits sentir les jours suivants la reprise.

Un regain d’idées et d’énergie 

Des nouvelles idées, de nouvelles envies touchant tous les domaines de ma vie. J’ai envie de virer tout mon matériel au profit d’un renouveau, d’un changement de mode vie. Envie également de changer de look en ciblant d’avantage ce qu’il me convient. Envie de travailler autrement en laissant tomber certains de mes projets car je me rends comptes qu’ils ne sont pas faits pour moi. Une reconnexion avec mes ressentis et mon intuition et retour en force des synchronicités et des phénomènes étranges qui m’accompagnent périodiquement.

Un changement d’alimentation

Des envies de verts, de jus verts, de légumes verts et un dégoût pour le sucre et le gras. Même les fruits ne me tentent pas plus que cela. Le lendemain de ma reprise, je m’offre un petit plaisir : rondelles de bananes trempées dans une sauce chocolat faite avec de la purée de cajou, du chocolat et de l’eau. Un dessert dont je raffolais il y a peu et qui m’a donné la nausée ce soir là jusqu’au lendemain matin.

Ce jour là, je devais me rendre à un salon bio. Cela faisait une éternité que je n’y étais allée. Je n’y ai pas trouvé le même plaisir qu’il y a 10 ans. Pire même, j’ai trouvé cela oppressant, centré sur la consommation à part quelques stands tout de même qui m’ont bien plus. J’ai un faible pour les bijoux en matière naturelle et j’en ai vu des magnifiques. Je suis repartie avec quelques idées de création en tête. Au niveau alimentaire et thérapie, j’ai l’impression de trouver tout ce qu’il me faut à travers la compréhension de la physiologie, de la régénération par le biais de choses simples mais essentielles. Le reste étant devenu business à mes yeux.

J’ai succombé pour un panini végétarien avec fromage de chèvre, petits légumes et un filet d’huile d’olive. Très bon au goût. On sent la qualité des produits utilisés. Mais qualité et bon au gout ne riment pas forcément avec physiologique… La digestion fût longue, quelques douleurs au ventre et une bonne diarrhée en milieu de nuit jusqu’au petit matin :p

Mon corps réagit. C’est bien. Je lui en suis très reconnaissante.

L’alimentation ou la troisième médecins – Jean Seignalet
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Envie de vert et reprise du poids perdu

La semaine ayant suivie ces deux expériences, je me suis gavée de vert, c’est ce que mon corps réclame. Jus verts, chou vert, haricot vert, brocoli, épinard etc… J’ai d’ailleurs tenté le smoothie vert comme vous pouvez le voir sur la photo ci-dessus. Banane, épinard, brocoli et le jus d’un concombre. C’est surprenant mais pas mauvais au goût. Seulement, j’ai trouvé cela beaucoup trop lourd à digérer. Je ne pense pas réitérer l’expérience. Je préfère les jus verts ou à les légumes à la croque.

Petit à petit, je réintroduits les fruits en jus, en smoothie et à la croque.

Ce jeûne m’a permis d’être encore plus à l’écoute de mon corps et me donne envie d’approfondir mes connaissances en physiologie. En fait, c’est comme si tout cela devenait naturel, une évidence, petit à petit et je n’ai plus à faire d’effort pour essayer de comprendre ce qu’il se passe.

Mais pour maintenir cet état, je sais qu’il me faudra refaire plusieurs expériences du jeûne soit à l’eau soit aux jus.

Ah ! J’allais oublier un détail ! J’ai repris tout le poids perdu. Je suis remontée à plus de 51 kilos en ne mangeant que des fruits & légumes (excepté le craquage évoqué plus haut). J’ai constaté que mes cheveux graissaient beaucoup moins vite. D’ailleurs, le prochain défi que je vous annoncerai bientôt portera sur No’poo (soit le lavage des cheveux uniquement à l’eau).

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Cours d’étymologie !

Je vous laisse en compagnie d’une vidéo récente de Thierry sur les intestins, la constipation, vous verrez à quel point la santé passe le bon fonctionnement de nos intestins ! Mais avant cela, un petit cours d’étymologie par le biais de cet extrait de Marie-Claude Calary.

« Bonjour » et « Comment allez-vous ? » : deux clés de contact verbales parmi les plus usuelles pour la rencontre interhumaine. Si se souhaiter mutuellement que la journée soit bonne est décodé aisément par tous, en va-t-il de même pour le « Comment allez-vous ? ». Le sens de cette expression, banale et quotidienne, ne va pas de soi, semble-t-il, et c’est une surprise pour beaucoup de nos contemporains d’apprendre qu’elle signifie : « Comment allez-vous à la selle, à la garde-robe ? »

La langue ancienne était claire, affirmant sans détours (hormis ceux dits des circonvolutions intestinales) combien la vie, vécue dans un corps de chair, suppose un quotidien de circulation harmonieuse des substances vitales, centré sur le voyage d’un bol alimentaire d’abord oral, allant peu à peu vers son terme, qui le fait devenir bol fécal, ayant assuré au passage tous les prélèvements nécessaires au maintien de l’équilibre intérieur. L’un des sens du verbe « aller » est effectivement « évacuer par bas », sens encore usité dans certaines régions françaises où les patients peuvent consulter le médecin car ils « ne vont pas du ventre ». Les « je vais bien » ou « ça va bien » sont donc le reliquat actuel, pudique, d’une information concernant l’état de ce jeu d’équilibre intérieur-extérieur, perdu de vue par le moi conscient, auquel le surmoi social dicte les attitudes culturelles bien ou mal… séantes. »

En vous souhaitant une bonne régénération !

Jeûne – Jour 4 : enfin, le nettoyage commence…

By Philosophine | Le jeûne

12h21 : détox psychique ?

J’ai bien dormi, je me suis réveillée vers 7h ce matin après 6h de sommeil. En pleine forme ! Toujours pas de forts symptômes de detox, moi qui m’attendais à être bien plus mal que ça avec éruptions de boutons, langue chargée, maux de tête etc. ben non.

En revanche, j’ai fait de drôles de rêves, détox psychique ?

Dans le premier, je me rendais à un supermarché espagnol appelé « Mercado », en ressortant je croisais Lilou Macé postée derrière un grand chariot. Elle vendait des objets de contrefaçon. Dans le second rêve, une énorme crevette géante de couleur sable nageait dans le canal. Elle prenait presque toute la largeur. Enfin dans le troisième, je me rendais dans un salon bio avec mon amie Clara. Il y avait plein de produits à goûter et sans réfléchir, j’ai pris une tranche de pain. Toute confuse, ce n’est qu’après l’avoir mangée que je me suis aperçue que j’avais interrompu mon jeûne.

Quelques symptômes :

Si je n’ai pas de symptome, j’ai malgré tout les yeux qui coulent encore beaucoup et ce matin l’écoulement était plus fluide que d’habitude. C’est un problème que j’ai depuis toute petite, c’est pourquoi j’ai fait des conjonctivites à répétitions durant des années. Je pense que c’est une mauvaise circulation de la lymphe. C’est pourquoi je prends parmi les plantes d’ABC de la nature, le mélange « Lymphe » qui permet de la faire mieux circuler.

Je prends également « Balai intestinal » qui aide au nettoyage des intestins, « Glandes surrénales » afin de les soutenir dans leur travail d’élimination et « Os et structure » pour me reminéraliser (notamment pour mes dents).

Je me suis reposée toute la matinée car cet après-midi, comme je l’évoquais hier, je dois aller visiter plusieurs appartements. J’irai donc en ville durant plusieurs heures et serait confrontée aux tentations, ne serait-ce que par les odeurs de cuisine en passant devant un restaurant. Et puis tous ces bruits, ces stimuli, le fait de se socialiser, tout cela est assez fatiguant pour moi. Nul n’empèche, j’ai hâte de les visiter ces apparts !

Ma petite routine :

Oil-pulling + rinçage à l’eau salée, plantes, Quinton et prise de psyllium puisque je compte faire un lavement prochainement. Le psyllium permet de décoller et d’éliminer plus facilement le mucus qui tapisse les intestins (la plaque mucoïde). Poids : 48,5 ! Aie aie aie… heureusement, je sais que je vais vite reprendre en reprenant mon alimentation.

20h30 : chouette après midi !

Voilà, je rentre de mon après-midi en ville et je suis agréablement surprise que tout ce soit si bien passé. Je me suis sentie bien, à l’aise. Bon un petit peu faible par moment. Je sens bien que je ne dois pas faire beaucoup d’efforts. Ça m’apprend à ralentir la cadence, étant donné que je suis habituellement assez speed. J’ai même fait les magasins, chose dont j’ai habituellement horreur.

Visite de deux apparts. Coup de coeur pour le premier bien qu’il ne soit pas spécialement comme je l’attendais et pas si « confortable ». Mais lumineux, bien placé, bien exposé, pas cher, avec le magasin à proximité bio et… avec un coeur découpé dans la porte de la salle de bain. C’est mignon !

La santé de l’intestin : le côlon – Norman Walker
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23h00 : lavement

Je m’appretai à faire un lavement quand je me suis aperçue que j’avais perdu un peu de sang, comme un début de règles hors ces dernières se sont terminées il y a à peine une semaine. J’avais d’ailleurs eu un retard de 22 jours, ce qui ne m’était pas arrivé depuis des années. Mais avec mon changement d’alimentation, et d’après les témoignages que j’ai lus, il semble que les retards arrivent fréquemment. C’est le corps qui se nettoie et cela ne m’avait pas plus inquiétée que cela. Je pense également que cette petite perte de sang est lié au nettoyage.

Tous les symptômes dont je vous parle depuis le début de mon jeûne peuvent paraître inquiétants d’un point de vue extérieur mais personnellement, j’ai confiance, j’ai vu bien pire que ça. J’ai toujours eu tendance à avoir de fortes réactions que ce soit aux médicaments, aux plantes, à diverses méthodes thérapeutique même celles dites « douces ». Mon corps réagit au quart de tour, c’est pourquoi je ne me fais pas de souci face à ce qu’il m’arrive présentement.

Pour en revenir au lavement, j’ai évacué plein de choses bizarres (je n’ai pas de terme précis pour les décrire). Des chapelets de petites billes reliées entre-elles par des fils, un bon morceau de plaque mucoide gélatineux et un petit bidule tout bizarre fin et clair d’un genre que je ne connaissais pas. Enfin bref ! Désolée pour les détails mais si mon expérience peut servir, tant mieux ! En tout cas, je me sens bien mieux, comme libérée, soulagée au niveau du ventre et ceci certainement grâce au psyllium + mélange de plantes « Balai intestinal ». Super efficace !

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La suite au prochain épisode

Demain j’attaque ma 5ème journée, soit mon troisième jour à l’eau et je pense que ce sera le dernier, mon expérience s’achèvera sur deux jours de jus. Jus vert pour le premier et certainement un petit peu de fruits pour le second, genre ajouter des pommes dans mon jus vert. Puis je ferai une douce transition entre les jus et mon alimentation normale.

C’est vraiment une chouette expérience que je vis. Je suis vraiment étonnée que tout se passe si bien !

Je vous dis à demain ! Bonne nuit !

La suite par ici : Jour 5 : Reprise des jus verts

L’incontournable bain dérivatif 💦

By Philosophine | Beauté Santé

Le bain dérivatif est la méthode la plus simple, la plus économique et la plus étonnante que je connaisse ! Depuis ma découverte du « BD » je ne cesse de le venter auprès de mes ami(e)s tant les bienfaits sont nombreux.

Si vous êtes adeptes et convaincus, n’hésitez pas en parler autour de vous. Partagez cet article, laissez des témoignages ! Il est temps que chacun d’entre nous se ré-approprie cette méthode ancestrale.

bain dérivatif
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