Calendrier de l’Avent 2017 – Concours

By Philosophine | Uncategorized

Oh oh oh ! C’est moi, votre bon vieux Père Noël ! 

Et bien, mes chers amis, Noël approche à grands pas ! À ce propos, j’ai ouï dire que certains d’entre vous n’ont pas fait preuve d’une sagesse exemplaire cette année… Quand je pense à tous ces sacs de charbon que je vais devoir distribuer… Heureusement, j’ai une belle nouvelle à vous annoncer : je vous offre une session de rattrapage de dernière minute. Oh oh oh !


concours de l'Avent
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J’ai testé la marque Long Tall Sally pour les femmes de grande taille

By Philosophine | Beauté Santé , Vie collective

Aujourd’hui, nous allons aborder un sujet qui sort de la thématique habituelle du blog mais dont j’avais envie d’évoquer parce qu’il concerne un peu plus de 5% de la population féminine dont je fais partie : trouver des vêtements à sa taille quand on mesure plus d’1m75. 

Être à l’aise dans ses vêtements, c’est important tant pour le confort que pour la confiance en soi. S’il existe bien un rayon « grande taille » destiné aux femmes fortes dans la plupart des magasins, les femmes de grande taille sont, quant à elles, encore trop négligées. 

Bien que certaines enseignes aient fait l’effort de diversifier leurs longueurs de pantalon, le reste de la garde-robe est totalement oublié. Malheureusement, il ne suffit pas d’ajouter quelques centimètres aux extrémités. C’est le vêtement dans son entier qui doit être repensé pour que la taille soit à sa place, ainsi que les coudes, les genoux, réajuster la largeur des épaules et même celle des ourlets pour les filles qui ont des grands pieds ! Et oui !

grande femme
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Le philosophe qui n’était pas sage – Laurent Gounelle

By Philosophine | L'âme en éveil , Lecture

Le philosophe qui n'était pas sage : deux destins qui s’affrontent, deux conceptions de la vie que tout oppose…

La forêt tropicale semblait retenir son souffle dans la chaleur moite du crépuscule. Assise devant l’entrée de sa hutte, Elianta tourna les yeux vers Sandro qui s’avançait. Pourquoi ce mystérieux étranger, que l’on disait philosophe, s’acharnait-il à détruire secrètement la paix et la sérénité de sa tribu ? Elle ne reconnaissait plus ses proches, ne comprenait plus leurs réactions… D’heure en heure, Elianta sentait monter en elle sa détermination à protéger son peuple. Jamais elle ne laisserait cet homme jouer avec le bonheur des siens. 

le philosophe qui n'était pas sage

Une histoire satirique qui nous interpelle : notre société permet-elle vraiment à l’homme d’être heureux ?

Ce que j'ai pensé du livre

philosophine

J’apprécie les romans de Laurent Gounelle tant pour la légèreté de sa plume que la profondeur de ses réflexions. Mais cette fois, j’ai un gros coup de cœur pour le livre que je vous présente aujourd’hui : ​le philosophe qui n’était pas sage​

Ce conte satirique révèle avec humour l’extrême perversion de notre société actuelle.

Il nous amène à réfléchir sur notre mode de vie, notre rapport à la nature, nos relations aves les autres, nos peurs, notre perpétuelle insatisfaction, notre besoin de posséder, d’être le plus beau, le meilleur, le plus fort…​

Comment en sommes-nous arrivés là ? Et si c’était l’œuvre d’une poignée d’individus avides de pouvoir et à l’égo surdimensionné ? Réussirons-nous à  renouer avec l’essentiel et à goûter de nouveau au bonheur ? 

Un livre que je recommande à tous ceux qui veulent ouvrir les yeux sur notre monde, en passant un  délicieux moment de détente.

Extrait du livre

Krakus et ses hommes cherchent de quelle manière pervertir les Indiens afin qu’ils se coupent de leur être.

Krakus et Alfonso :

– L’autre jour, il me parlait de Descartes.
– De qui ?
– Descartes. Un philosophe français, parait-il. Il est mort, je crois. Il a dit un jour : « Je pense, donc je suis. » Sandro dit que c’est des conneries.
– Des conneries ?
– Ouais. Il dit qu’au contraire nos pensées nous empêchent parfois d’être.
– D’être quoi ?
– D’être tout court.
– Ouh, là… Sandro, il doit fumer en cachette des trucs d’Eliana…
– Non, c’est simple, en fait. Parfois, t’es tellement dans tes pensées que tu vois plus ce qu’il y a autour de toi, t’écoutes plus ce qu’on dit, tu sens plus rien. Donc, finalement, c’est comme si t’étais débranché de toi-même. Et Sandro dit que tes pensées ne sont pas la réalité. Quant t’es dans tes pensées, t’es comme dans un film, mais t’es pas dans ta vie. Donc, finalement, plus tu penses, et moins tu es. 

Krakus sortit sa gourde et but une gorgée d’eau. Alfonso fit la moue.

– Mouais…
– Non, c’est pas fumeux, je t’assure.
– Bon, et quel rapport avec les mômes ?
– Eh bien, je me suis dit qu’on allait apprendre aux mômes, dès le plus jeune âge, à être à côté de leur vie. On va les conditionner à être uniquement dans les pensées, dans le mental, quoi. On va les enfermer dans leur mental, ne s’adressant qu’au mental, et les empêcher d’utiliser autre chose que le mental. On va leur enseigner des milliards de choses au niveau mental, et on va rien leur apprendre aux autres niveaux.

– C’est quoi, les autres niveaux ?

– Eh bien, Sandro dit que c’est apprendre à être bien dans sa peau, à l’écoute de son corps, apprendre à se connaitre, à s’aimer, à avoir confiance en soi, à gérer ses émotions, apprendre à communiquer avec les autres, à les comprendre, savoir écouter, convaincre, se faire respecter, gérer les relations, résoudre ses conflits, comprendre ses peurs et aller au-delà, apprendre à apprécier la vie, à être serein… Bref, tout ce qui te permet de t’épanouir, quoi.

– Ah ouais ?

Alfonso sortit une feuille de coca et la mit dans sa bouche.

– Et non seulement on va pas leur enseigner ça mais en plus, on va les empêcher de pouvoir l’apprendre en dehors de l’école. Il faut pas qu’ils puissent se rééquilibrer le soir.
– Ca, ça va pas être facile…
– Si. On va contrôler leur temps libre.
– Contrôler leur temps libre ?
– Oui, on va leur donner tellement de trucs à faire tout seuls après l’école – toujours sur le plan mental, bien sûr – qu’ils n’auront plus le temps d’expérimenter des choses par eux-mêmes, de se frotter à la vie, de rêver, de rencontrer du monde…
– Ah ouais…

Krakus remit son chapeau. C’était quand même mieux que le soleil sur le crâne.

– D’ailleurs, à ce propos, on va bien sûr leur interdire de parler en classe, tout comme on va leur interdire de bouger. Ils seront obligés de rester assis, immobiles, sans communiquer. Ils resteront là, à recevoir des informations mentales à longueur de journée. Interdit d’échanger, d’éclater de rire, de pleurer. On va leur bourrer le crâne de trucs à apprendre par coeur sans se poser de questions.

– A mon avis, ça marchera pas, ils vont se rebeller, les gamins.
– T’en fais pas. On fera croire à tout le monde que c’est bon pour eux. Les mômes seront bien obligés de suivre.
– Oh, là, là…
– On va aussi les garder pour le repas de midi et les obliger à manger à toute allure.
– Manger à toute allure ? Ben, pourquoi ?
– Il ne faut pas leur laisser le temps de savourer chaque bouchée, ressentir un bien-être, puis l’arrivée de la satiété. Il faut les couper de leur corps, que manger devienne une activité qu’ils pratiquent à toute vitesse sans rien ressentir,
– C’est chaud, ton truc.

– Ouais. Très chaud. Et on va encore pousser le bouchon un peu plus loin.
– Arrête…
– On va sabrer complètement leur confiance en soi : en classe, on va s’arranger pour jamais les valoriser, mais aussi contraire pointer du doigt la moindre erreur, la moindre petite faute… À longueur de journée.
– La maitresse acceptera jamais.
– C’est presque fait !
– Non ?!
– Si.
– Comment t’as fait ?
– Je lui ai fait croire que, si elle les complimentait, ils s’endormiraient sur leurs lauriers. Alors que, en réalité, c’est le contraire, bien sûr.
– Et elle a gobé ?
– Pas tout de suite. Elle a protesté en disant qu’elle connaissaient les enfants mieux que moi. Je lui ai répondu : « Peut-être, mais c’est moi qui fais le programme. » Chacun son rôle.
– Elle a cédé ?
– Disons qu’il a d’abord fallu que j’en appelle à Descartes.
– Qu’est-ce que tu lui as dit ?
– Je pense donc tu suis. 

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​Du même auteur :

laurent gounelle
laurent gounelle
Laurent Gounelle
Laurent Gounelle

​Vous avez aimé l'exraire du livre "le philosophe qui n'était pas sage" ? Vous pourriez être intéressés par la lecture​ du pouvoir divin de l'homme ou encore de la petite âme et le soleil.

Délicieuse recette de panisse aux épices (vegan & sans gluten)

By Philosophine | Recettes , Se nourrir

Aujourd’hui, je partage avec vous une délicieuse recette de panisse très simple, peu coûteuse, vegane et sans gluten, nécessitant seulement deux ingrédients principaux : de la farine de pois chiche et de l’eau. Que demander de plus ? Idéale pour les fins de mois difficiles ou pour se régaler en hiver lorsque les envies se tournent vers quelque chose de plus dense et chaud.

recette de panisse

La panisse trouve son origine dans la Ligurie, région du nord-est de l’Italie. Elle a traversé la frontière pour être très appréciée dans le Sud-Est de la France. Remontée jusque dans le Nord-Est, elle fit récemment une escale dans mon magasin bio. Et c’est comme ça que j’ai fait sa découverte. J’ai trouvé ça étonnamment bon. Alors j’ai pensé qu’elle serait encore plus gouteuse et moins couteuse en la faisant moi-même.

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Je m’organise avec MyAgenda !

By Philosophine | Ma maison écolo

L’heure du bilan a sonné, 2016 s’estompe tandis que 2017 se profile à l’horizon… C'est le moment de vous présenter mon nouveau jouet : My Agenda 

J’aime réserver la dernière semaine de l’année au bilan et à la préparation de la suivante. C’est un petit rituel d’introspection que je prends plaisir à faire.

Dans cet espace hors temps, je relis mes notes de l’année précédente : « Tiens, j’ai atteint cet objectif ! Et celui-ci aussi ! De beaux progrès dans ce domaine… En revanche sur ce point, c’est toujours au point mort malgré mes efforts… me serai-je simplement trompée de voie ? »

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Ma cure pré-automnale : monodiète de raisin, purge & cataplasme à l’huile de ricin.

By Philosophine | Je me régénère , Se nourrir

Septembre 2016 fût un mois de nettoyage énergétique intense. Peut-être l’avez-vous ressenti ou suivi à travers la météo astro-énergétique. Pour moi, il a été particulièrement chargé, je me suis retrouvée face à des peurs viscérales suite à quelques événements extérieurs empreints de violence. Je ne vais pas étaler mes problèmes personnels ici mais il me faut établir le climat dans lequel j’ai baigné durant cette monodiète de raisin. Bien qu’ayant calmé le mental à coups d’EFT et d’Hoponopono, ces perturbations ont mis mon corps dans un état de stress durant plusieurs semaines (sens en alerte, tremblements, réveil en sursaut etc.).

cure de raisin

De ce fait, je n’attendais pas de cette cure un bien-être absolu. J‘espérais qu’elle m’aiderait à passer cette période avec davantage de sérénité, à avoir les idées claires pour prendre de bonnes décisions. On pense souvent à tort que dans les périodes difficiles, nous avons besoin de manger davantage pour avoir un maximum d’énergie. Au contraire, s’abstenir de manger ou alléger sa digestion (qui n’est forcément pas top en période de stress) permet de garder son énergie pour mieux faire face.

Dans cet article, je vous fais part de trois expériences faites au cours de ce mois de septembre : la monodiète de raisin, la purge et le cataplasme à l’huile de ricin.

La monodiète de raisin :

Quels raisins ai-je choisi ?

J’ai pris tout ce qu’il y avait dans mon magasin bio (toutes les sortes hein pas tout le raisin) en favorisant les moins chers et réservant les autres comme petit plaisir. J’ai un budget alimentaire de 6 à 8 euros maximum par jour. Parmi ceux-ci : Danlas, Alphonse Lavallée, Muscat, Cardinal, Sans pépin et Italia. L’Italia n’est pas ce qu’il y a de mieux pour une cure, sa peau étant épaisse, il est préférable de la recracher. Cela dit, il reste l’un des moins chers.

Le raisin rouge riche en tanins est particulièrement astringent. Je ne le supporte qu’en petite quantité.

raisin

Déroulement de la cure :

Les premiers jours, j’ai fait des petits repas tous les 3-4h à partir de 12-14h (je mange rarement le matin) représentant 1 à 2kg de raisin au total. En milieu de cure, j’ai commencé à saturer du raisin et du sucre. J’ai naturellement espacé mes prises pour ne faire plus que 2 repas par jour, soit 1 à 1,5 kg de raisin tout en me sentant rapidement rassasiée.

Lassée je me suis arrêtée au 11ème jour avec de fortes envies de vert, de gras, de crudités, de salades, d’avocat… mais étonnamment, que du cru, pas de cuit.

Les effets :

La fatigue et quelques nausées se sont faites ressentir le premier jour, certainement dû au fait que je n’ai pas fait de transition et que mon alimentation des jours précédents n’était pas au top. Comme dit plus haut, j’étais dans une période délicate, emplie de stress. Une congestion de la partie supérieure s’était resintallée de manière chronique avec symptômes allergiques dont production et évacuation de mucus. Je comptais sur la cure de raisin pour m’en débarrasser comme je l’ai déjà fait précédemment grâce au jeûne.

Détox : peu présente bien qu’elle se soit manifestée par ces éternelles réminiscences des goûts de mon enfance. Cette fois-ci, c’est le pain marocain de Fatima qui me revient en tête et le taboulé de ma voisine de l’époque. Je devais avoir 12 ou 13 ans. Ces sensations ne durent jamais bien longtemps, un jour ou deux mais elles sont pour moi le signe d’un nettoyage en profondeur.

J’ai brièvement eu envie de poisson durant une journée. Je me suis alors demandée si mon corps faisait appel à des produits animaux par besoin ou si c’était une simple réminiscence. Cette envie est partie très rapidement, j’en conclus que ce n’était pas important.

Un transit au top : je n’ai pas de problèmes particuliers de ce côté mais je remarque qu’il est encore meilleur malgré une petite quantité d’aliment ingérée.

Poids : l’avantage de la monodiète, c’est que les personnes en sous-poids peuvent tenir le rythme plus longtemps que lors d’un jeûne du fait que le poids descend plus lentement. Du moins, c’est ce que j’ai pu remarquer dans mon cas.

Energie : suffisamment bonne pour faire une marche de 10 kms (soit 17513 pas) au petit matin du 4ème jour.

cure de raisin
podomètre

Conclusion :

Une expérience que je ne qualifierai pas d’exceptionnelle à cause du contexte défavorable mais qui m’a permise de traverser les difficultés avec plus de sérénité.

La monodiète de raisin ne m’a pas débarrassée de la congestion, ce qui m’a d’ailleurs étonnée en comparaison avec mes expériences passées. Après auto-observation, je pense que cet état est davantage lié au stress qu’à la nourriture ou poison ingérés. La preuve en est que quelques semaines après, le stress a diminué, la congestion aussi.

J’ai une fois de plus pris conscience que la nourriture ou l’absence de nourriture ne résout pas tous les problèmes mais favorise un état de clarté mentale propice au travail sur soi et à l’ouverture spirituelle.

La purge à l’huile de ricin :

Tantôt prônée pour ses bienfaits, tantôt rejetée pour son côté « violent », la purge à l’huile de ricin semble faire de nombreux adeptes. Particulièrement recommandée par Irène Grosjean, elle permet de nettoyer, désengorger le tube digestif en quelques heures. Pour plus d’informations sur la détox par les purges, je vous renvoie à cet article : Se détoxer ou se purger : quelle méthode adopter pour nettoyer son corps de l’intérieur.

Ayant déjà fait maintes purges au sulfate de magnésium (ou sel d’Epspom) dans le cadre d’un nettoyage du foie et ayant eu des réactions assez violentes (fortes diarrhées 2h après chaque prise conduisant à un épuisement général du corps) j’avais quelques appréhensions quant à cette purge.

Voulant m’épargner des désagréments nocturnes, j’ai opté pour une prise le matin, à jeun, au 5ème jour de ma monodiète de raisin, réservant ma journée à la détente.

Où trouver de l’huile de ricin ?

On en trouve dans certaines pharmacies (préparation) mais n’oubliez pas de demander si elle est bien extraire à froid.

Sinon, vous pouvez l’acheter en ligne en cliquant sur l’image.

huile de ricin

​(Rassure-toi, aucun castor n’a été pressé pour la fabrication de cette huile !)

Prise du mélange et ressentis :

Le goût est moyen, la texture très épaisse. J’ai bu le tout en 4 gorgées à l’aide d’une large paille. Cela dit, je m’attendais à pire pour avoir eu l’occasion de boire un breuvage assez similaire lors des nettoyages du foie. Cette fois-ci, pas de nausées, pas de réactions particulières au cours de la journée hormis une légère somnolence. Ce n’est que le soir avant l’heure du coucher que le besoin d’évacuer s’est fait sentir. Quatre évacuations au total, rien de violent comme j’ai pu le vivre avec le sulfate de magnésium quelques années auparavant.

Pas d’effets particuliers les jours suivants, pas d’exceptionnel bien-être comme j’ai pu le lire parfois.

Posologie : 

  • 3 cuillères à soupe d’huile de ricin
  • le jus d’un pamplemousse fraîchement pressé

(À ajuster selon les besoins et la sensibilité de chacun, ne pas dépasser 4 cuillères à soupe d’huile de ricin. Après, tu fais comme tu veux mais je me décharge de toutes responsabilités quant aux désagréments occasionnés suite à l’abus d’huile de ricin)


Ce que j’en pense :

Mon avis est partagé quant à cette purge. Après un partage d’expériences entre amis, j’en déduis qu’elle s’avère certainement utile en cas d’urgence, d’un besoin de désengorger rapidement le tube digestif. Pour moi qui prends soin de mes intestins depuis plusieurs années à l’aide de plantes, de lavements réguliers et d’une alimentation adéquate et ayant un bon transit, la purge a eu très peu d’impact sur mon corps.

Une seule expérience ne suffisant pas pour en tirer des conclusions, je réiterai certainement cette expérience dans un contexte autre que la monodiète de raisin.

​Mélange ricin / pamplemousse

Si ce n’est pas méga super bon, ça a le mérite d’être beau

(Tu as peut-être déjà remarqué que l’art de faire quelque chose de beau avec n’importe quoi comptait beaucoup dans ma vie ! )

Cataplasme à l’huile de Ricin

Au 7ème jour de ma monodiète de raison, je décide d’expérimenter le cataplasme à l’huile de ricin (pour plus d’informations sur son action et son usage en externe, cliquez ici). Ce jour-là, je venais de faire une longue séance d’EFT, car comme je vous le disais en introduction à cet article, ce mois de septembre a été particulièrement chamboulant au niveau personnel. De ce fait, j’ai pensé qu’il serait bon de faire un cataplasme au niveau du plexus solaire pour me libérer d’un trop plein d’émotions.

Protocole : imbibez un tissu d’huile de ricin, posez-le sur le partie à traiter (on peut y ajouter une serviette épaisse afin d’éviter d’en mettre partout.) Placez une bouillotte bien chaude par dessus.

Au bout d’une vingtaine de minutes, je me suis endormie (moi qui ne m’endors jamais en journée…). J’ai laissé reposer une heure. Une demi-heure plus tard, je me retrouvais en pleurs, évacuant ce trop plein d’émotions pour ensuite me sentir mieux.

C’est une expérience que je réitérai sans doute tant j’ai apprécié les bienfaits libérateurs.

​N’hésitez pas à me faire part de vos expériences de monodiète de raisin, de purge ou de cataplasme à l’huile de ricin dans les commentaires ci-dessous.

Si tu as aimé cet article, tu aimeras peut-être lire mes articles sur mon expérience du jeûne : Jeûne au jus et à l’eau, J’ai jeûne 5 jours pour bien démarrer l’année ou encore Jeûne alterné/intermittent/aléatoire.

La continence des règles, expérience & hypothèses.

By Philosophine | Beauté Santé

​Un jour, mon corps m’a fait découvrir un phénomène in-croy-able et totalement inconnu ! Enfin… c'est ce que je croyais, jusqu’à ce que j’apprenne que ça n’avait rien d’extraordinaire ! Et même que j’étais loin d’être la seule à le vivre (zut). Ça a même un nom, on appelle ça la continence des règles, flux instinctif libre ou encore free-flow instinct… in english. 

continence des règles

C’était tellement génial que j’ai voulu aborder le sujet sur les réseaux sociaux parce que quand un truc est génial, j’aime le partager avec la Terre entière et qu’à cette époque on en parlait très peu. Mais à la vue des réactions – principalement masculines – « Hein ? Quoi ? Comment ? Mais ce n’est pas naturel » je suis encore passée pour la fille bizarre qui fait des trucs bizarres.

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