Le bilan #Cure de jus

By Philosophine | Je me régénère

​On se retrouve aujourd’hui pour le bilan de la cure de jus dont « l’après » ne fût pas de tout repos. Cette pause alimentaire, j’en ressentais le besoin. J’étais tombée dans une routine alimentaire qui ne me convenait plus mais que je perpétuais par automatisme et par sécurité.

L’autiste Asperger a des rituels, en changer est source de stress.

​ Voyez-vous par exemple, je mange tous les jours dans les mêmes contenants, avec les mêmes couverts, en changer nécessite un temps d’adaptation des sensations, du toucher, des bruits…. – d’ailleurs, j’utilise actuellement des récipients en bambou, j’aime la texture et le bruit est très doux. 

Si c’est moi qui suis dans la demande d’un changement, ça ne pose pas de soucis puisque je m’attends à vivre une expérience nouvelle. Or, lorsque cela m’est imposé sans en avoir été préalablement avertie cela devient davantage problématique et source ponctuelle de stress. Je me rends compte que mon alimentation a toujours été faite de routines prenant souvent le dessus sur mes ressentis même lorsque j’écoute consciemment mon corps.

Cette cure de jus représentait donc une nouvelle aventure choisie, un moyen de couper avec les habitudes du quotidien et de découvrir autre chose qui pourrait éventuellement mieux me convenir.

Un gain de temps et d’énergie

La cure en elle-même s’est relativement bien passée. J’ai pu rassembler les ingrédients nécessaires et je me suis facilement habituée à cette nouvelle routine qui demande très peu d’effort, ce que j’ai beaucoup apprécié. Chaque matin, je préparais le jus de la journée et pouvais consacrer le reste de mon temps à d’autres activités. J’ai apprécié cette sensation de longues journées sans être interrompue par la confection du repas, la vaisselle etc…. J’ai ressenti beaucoup d’énergie en alternance avec des moments de fortes détox comme vous avez pu le lire dans mes articles précédents.

Une nouvelle étape de franchie

J’ai l’impression d’avoir franchie une nouvelle étape en m’étant sevrée des aliments sucrés et excitant tels que les chocolats, les dattes, les chips de bananes que je consomme essentiellement dans les moments de troubles, de stress, de perturbation émotionnelle. Il en est de même avec les pommes de terre et autres aliments « lourds » que je mange dans le but de me remplir, de combler un vide. C’est une manière d’anesthésier mon cerveau, d’éviter de me retrouver face à moi-même, le corps étant occupé à digérer, il n’y a alors beaucoup moins de place à la réflexion. Ces remarques, il y a longtemps que je me les suis faites, seulement jusqu’à maintenant je ne me sentais pas suffisamment solide pour y faire face. Mon état actuel de régénération me le permet, enfin.

Je suis d’ailleurs en train de lire un livre pdf que je vous recommande : Se nourrir en conscience de Gabriel Cousens, plus de 600 pages pour un prix dérisoire. Je n’en suis qu’au début et outre les explications sur l’alimentation vivante, j’apprécie le coté spirituel de l’auteur qui nous fait prendre conscience de notre rapport à l’alimentation sur un plan spirituel et énergétique.

​Les jus de fruits et de légumes frais – Norman Walker

(Cliquez sur l’image pour accéder au produit)

La clarté de l’esprit

J’ai été surprise par la clarté de mon cerveau qui a tendance à s’embrouiller très vite. Les ressentis et la capacité à se connecter à mon moi profond et à l’astral ont été intensifiés. Ainsi, tout comme je l’avais déjà constaté lors de mon jeûne aux jus et à l’eau en septembre, je me suis à nouveau retrouvée involontairement face à des phénomènes de clairvoyance, captant des informations qui ne m’appartiennent pas. Je sais que ces capacités sommeillent en moi et ces expériences me confirment que le réveil de mes capacités iront de pair avec la régénération de mon corps et de mon esprit.

La perte de poids

J’ai perdu tous les kilos que j’avais réussi à gagner ces dernières semaines mais je n’ai pas franchi la barre des 50 contrairement au jeune de septembre ou j’étais tombée à 47 (pour 1m79). J’ai donc perdu un peu plus de 3 kg pendant la cure. Ces kilos, je pensais les reprendre rapidement mais la suite de l’aventure ne s’est pas passée comme je l’imaginais ^_^

La reprise

J’ai repris une alimentation solide deux jours avant la fin de la cure de jus, à raison d’un petit repas léger le soir tout simplement parce qu’il y a certaines choses que je n’arrivais pas à gérer émotionnellement et que j’avais ce besoin de me remplir, mais aussi de trouver du plaisir dans quelque chose d’extérieur à moi. Jusque là ça va et au final ça ne modifie en rien mon expérience. C’est après que cela s’est corsé !

Les effets du jus de chou sur mon corps

Vous vous souvenez de mon dernier jour de cure ? N’ayant pas les ingrédients pour faire le jus sauvage, j’avais opté pour le fameux jus de chou rouge et pommes. Consciente que ce jus n’allait pas forcément me plaire, déjà de par sa couleur. Si le violet est l’une des couleurs que j’affectionne le plus, je l’apprécie beaucoup moins lorsqu’il s’agit d’aliment. La betterave, le chou rouge… ne m’attirent pas. J’ai malgré tout choisi d’en faire l’expérience. J’ai modifié quelque peu la recette en ne mettant qu’un demi chou pour 3 pommes. Les premières gorgées n’étaient pas mauvaises mais j’aurais pu – aurais dû – me contenter d’un verre. En ayant fait les trois quart d’un litre et ayant horreur de gaspiller, je l’ai bu jusqu’au bout malgré qu’au fil de la journée, il commençait à me donner la nausée. Je ne me suis pas écoutée, je me suis forcée.

A la fin de la journée, j’ai eu des crampes dans le ventre et la nausée. Je me souviens alors des dires de Thierry comme quoi le chou est riche en soufre. Et voici ce que j’ai trouvé : « La réaction du soufre dans le jus de chou avec bactéries présentes dans l’intestin peut provoquer des gaz inconfortables, notamment des crampes. Soyez prudent de boire du jus de chou dans la modération et diluer le jus avec d’autres jus de légumes pour réduire le risque de gaz. »

Mais qu’est-ce qui m’arrive ?!

Le lendemain je ne me sens pas bien, je mets cela sur le compte de mes règles qui se sont déclenchées avec trois jours d’avance et ce, sans aucun syndrome prémenstruel qui me fait tant souffrir habituellement. Je crois que c’est la première fois que je ne ressens ni mal de tête, ni mal de ventre, ni effondrement émotionnel les jours précédents. Mes règles sont peu abondantes et s’écoulent naturellement dans les toilettes (continence des règles). Elles vont durer trois jours. Un point très très positif qui me donnerait presque l’envie de jeuner trois jours chaque mois avant l’arrivée de celles-ci. Bref. Revenons au sujet initial, les crampes dans le ventre, la nausée… je suis dégoutée des jus, j’ai encore le goût de celui de la veille dans la bouche, j’ai des gaz et des renvois.

La continence des règles

(Cliquer sur l’image pour accéder à l’article)

Cela va se poursuivre et s’intensifier les jours suivants, je m’excuse par avance pour les détails mais je n’ai jamais eu un truc pareil ! Des crises de renvois comme si je venais de boire des litres et des litres de coca ou autres boissons gazeuses avec comme une odeur de souffre s’en dégageant (ce qui me fait dire que c’est le fameux chou). J’ai passé deux nuits atroces à me réveiller toutes les deux heures pour supporter ces crises ainsi que de terribles maux de tête. Je ne pouvais plus rien avaler sans avoir ses crampes au ventre, renvois et gaz. Du coup, j’ai jeûné et je n’ai pas quitté mon lit durant plusieurs heures avant de pouvoir faire un lavement.

Présence de bactérie dans les intestins :

Le chou a révélé la présence de bactéries dans les intestins. Rien d’étonnant. Cependant, réagit-il ainsi avec les mauvaises bactéries seulement ou toutes en général ? J’imagine qu’un intestin propre et reconstruit ne connait pas ce genre de désagrément. Ces manifestations constituent une preuve de plus d’une dysbiose intestinale. La question que je me pose alors est la suivante : est-ce que l’expérience du jus de chou m’a été bénéfique ? Ai-je vécu un grand nettoyage ? Il est trop tôt pour en tirer des conclusions.

Nous sommes aujourd’hui dimanche, soit une semaine après l’ingestion de ce fameux jus, je me sens encore un peu patraque. J’arrive à remanger mais en petites quantités et presque uniquement des fruits, je suis dégoutée des légumes et des jus. J’ai des envies de mangues, de kiwis, de poires et d’anones. 

Après la reprise

De plus, n’ayant plus aucune routine alimentaire, je suis actuellement perdue dans mon quotidien, je ne sais plus ce que je dois faire, ni quand, ni comment, ce que je dois acheter, préparer, je n’arrive plus gérer ma réserve alimentaire (fruits et légumes qui pourrissent sans que je n’arrive à gérer les priorités alors que je gère parfaitement habituellement), la vaisselle sale qui reste en plan dans ma chambre etc. c’est le trou noir, le vide total. Et même mon coloc s’étonne de ne pas me voir faire à manger. Je n’y arrive plus. Je suis bloquée n’ayant pas imaginer un tel scénario pour ma reprise alimentaire.

Alors je mets ceci de côté pour le moment, le temps de retrouver un esprit clair et je me concentre sur d’autres priorités. Avant, cela m’aurait complètement paniquée. Maintenant, j’arrive à me dire que ce n’est qu’un état passager, que ce n’est pas grave si je fais n’importe quoi durant quelques jours, ce n’est pas définitif. L’alimentation n’est pas quelque chose de facile à gérer en temps normal mais elle l’est encore moins avec des troubles autistiques.

Si j’ai pu retirer des bienfaits durant ma semaine de cure de jus, je ne peux en dire autant de l’après. Cela dit, ça reste une expérience intéressante et enrichissante m’ayant permis de partir en terre inconnue à l’intérieur de moi-même.

Si vous avez des expériences à me faire partager, les commentaires sont ouverts !

A bientôt pour de nouvelles aventures !

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Semeuse de graines de bien-être !

  • Mickaêl dit :

    SU-PER! super super super!!!

    Je ne savais pas que la cure de jus était « si » puissante.

    Je commence par le début. Initialement j’aime faire la cure de raisin. C’est la période et je suis « chaud » comme tous les été.

    Et j’aime la faire en suivant un process. A savoir quelque jour de jeûne et bim bam boum entre 3 et 6 semaines de monodiètes.

    Mais je le savais cette cure je ne la sentais pas… Question de feeling. Ca a commencé par l’achat du livre de Anthony William sur la detox du foie. J’ai commencé quelque jour avant par le jus de céleri « miraculeux » tous les matin à jeun qu’il préconise.

    Punaise c’est vrai que ça travaille le jus de Céleri…

    Allez j’arrive à la date où je commence mon jeûne avant d’entamer ma monodiète de raisin. Je fais 1 jour et demi de jeûne sec et par inadvertance je bois de l’eau… (l’objectif c’était 3j) Bref!! Je me dis que maintenant mon jeûne est cuit et que je vais prendre du jus de céleri pour voir en sortie de jeûne qu’est-ce que ça donne!

    Alors la j’étais pas prêt!!! Un travail énooooooooorme de chez énorme côté transit!!! Au même moment je reçois le bouquin « les jus frais de légume et de fruit » du Dr WALKER… J’ouvre le bouquin et je tombe sur le jus de céleri… Destin quand tu nous tiens!!!

    Autant te dire que là je me dis que je tiens quelque chose.

    Je me mets à être obnubilé par ce bouquin. Tellement génial que ma cure de raisin se transforme en cure de jus tout court mais toujours le jus de céleri le matin à jeun. (Et voila 24kg de raisin stocké dans mon frigo…)

    Et je te passe le moment ou j’ai tapé sur internet « cure de jus » et que je tombe sur ton site looool!

    Tout ça pour te dire que j’ai attendu de terminer ma cure ou mon jeûne de jus pour écrire ce roman.

    Et affirmer que le jus de chou (comme tous les jus) est extrêmement puissant.

    Et que dire du jus de Céleri…

    Mais le must que je raffole reste le jus de carotte-betterave-concombre. je peux en boire facilement 2L par jour tellement c’est un kiff.

    Bref merci pour ce bilan et d’avoir partagé ça avec nous. C’est vraiment pas évident de faire une cure monodiète ou jeûne. Parfois on se découvre et des émotion anciennes refont surface (quand ce n’est pas une crise de guérison physique) et là il faut s’accrocher car c’est extrêmement puissant.

    Je ne sais pas si tu connais Anthony William mais son truc ça a l’air de marché.

    Au plaisir 😉

    • Philosophine dit :

      Salut Mickaël !

      Merci pour le partage de ton expérience !

      Pour le jus de céleri, c’est du céleri pur ou tu rajoutes quelque chose avec ?

      Pendant un moment, je prenais un petit verre de jus de céleri & pomme le soir car ça aide à dormir. Je mets souvent du céleri dans mes jus mais je n’ai rien remarqué de puissant. Sans doute parce que je le mélange avec autre chose !

      Oui je connais Anthony William qui est justement renommé grâce à son jus de céleri mais je n’ai pas encore eu le temps d’approfondir ses enseignements !

      Cela me fait bizarre de relire cet article… J’en rigole maintenant mais j’ai cru que j’allais mourir étouffée par les rots et les pets avec ce jus de chou looool Je n’avais jamais vécu un truc d’une telle intensité !

      C’est marrant que tu sois tombé une fois de plus sur mon blog… décidément ! 😀

      Au plaisir de te lire !

      • Mickaël dit :

        Salut Angélique,

        Ah ce jus de chou est sur ma liste. J’ai lu sur le bouquin du Dr Walker que c’est un jus très puissant. Pour te donner des jus que j’aimerai tester, les trois qui sont sur ma liste sont:
        1) jus d’asperge
        2) jus de chou 😉
        3) Jus d’orange + Pomme (séparément) avec un jus de céleri pur à jeun le matin.

        Vu comment ça t’a travaillé loool ça me donne envie de connaître la puissance du jus de chou 🙂

        Alors oui c’est très marrant. Quand j’ai vu la puissance des jus, j’ai tapé « cure de jus témoignage » sur internet et je suis tombé sur ton site… J’ai bien profité de ton expérience tout en rigolant (sans se moquer) des désagréments qui te sont arrivés. Car il y a beaucoup de tes symptôme qui sont repris dans les bouquins de William.

        Justement, le jus de céleri, c’est pur pour répondre à ta question. Et alors, quand j’ai coupé mon jeûne j’avais une caisse remplie de pomme. Accroche toi, car je prenais quasi 1l de céleri pur à jeun au levé du matin et après je mangeais des fruits et je buvais des jus de pomme (avec mes pommes passées à l’extracteur de jus = un délice).

        Mais alors, je peux te dire que ça nettoie le bide. Mais un nettoyage de printemps si je puis « imager » la chose. Déja que le jus de céleri à jeun c’est costaud pour nettoyer le ventre mais avec des fruits dont les pommes… Franchement c’est très très puissant.

        J’ai hâte de refaire une cure ( Jus de céleri à jeun + Fruits cru toute la journée + Jus de pomme et jus d’orange car l’orange aussi ça nettoie biiiien lol).

        Le jus de céleri à quand même un goût particulier. Mais je peux te donner un feedback puisque cela fait à peu près un mois que je j’en bois tous les matins et honnêtement il y a une amélioration dans tous les mots que j’avais. Le seul soucis à une personne qui veut se lancer est son prix… Et je compte bien continuer (je fais en parallèle le bain dérivatif et bouillotte sur le foie 2x/jour).

        Content d’avoir eu ton retour. Je te souhaite une bonne journée.

        Au plaisir de te lire 🙂

        Bizzzzz

        • Philosophine dit :

          Wahou ! Tu me donnes vraiment envie de me remettre sérieusement aux jus que j’ai arrêté par manque de disponibilité et d’organisation actuellement.

          1l pur de jus de céleri le matin… ça doit dépoter en effet ! Plus les fruits qui sont détoxifiants…

          Ton expérience est très inspirante ! Merci ! 😀

        • Philosophine dit :

          Tiens, toi qui aimerais tester le jus d’asperge, j’ai pensé à toi hier !

          J’ai mangé une pizza avec quelques petites asperges dessus en guise de déco, genre 3 ou 4, pas plus… et le soir même mon urine sentait fortement l’asperge ! Ça m’impressionnera toujours ce truc !

          Alors je me dis qu’est-ce que ça doit donner avec du jus d’asperge ! Ça doit dépoter ! 😛

          A tester ! 😀

          • Mickaël dit :

            Tiens je suis en train de lire (relire plutot ;-)) le livre de William.

            Il a un paragraphe « Aliments, herbes et compléments curatif ».

            Pour l’asperge ça dit : Elle fournit une abondance de flavonoïdes dont beaucoup ne sont ni encore découverte ni étudiées et sont fortement anti-inflammatoires ; véritable aspirine naturelle, elle apaise le foie lorsqu’il est chaud, engorgé et en difficulté et augmente considérablement sa capacité de nettoyage… etc)

            Pour le chou rouge 😉 ça dit : il soutient le foie à plus d’un titre et joue son plus grand rôle dans le tractus intestinal où il diminue les agents pathogènes, expulse le gaz d’ammoniac endort les champignons et les bactéries et élimine les déchets et les aliments putréfiés… etc) = Bref je remue pas le couteau mais effectivement ça a l’air biiiiien puissant loooool.

            Apparemment le chou de Bruxelles c’est le niveau au-dessus… Franchement j’ai hâte d’essayer looool.

            Ps: j’ai essayé le jus d’ail… Lui par contre c’est du destop. Tu le sens passer au moins 5 bonne minutes. Au moins!!! 😉

  • Olivier dit :

    Tes articles sont vraiment agréables à lire. Le fait que tu détailles tes réflexions et ressentis rend le sujet plus abordable. C’est toujours rassurant et motivant de savoir que l’on est pas seul à avoir des hauts et des bas dans la transition alimentaire 🙂
    Il me restait justement un chou rouge… je vais en faire un jus en plusieurs fois du coup!

    • Philosophine dit :

      Bienvenue à toi, merci pour tes réflexions qui m’encouragement à poursuivre !
      Ah oui… le fameux chou rouge…. je n’ai jamais osé en remettre dans mes jus.
      Bon courage et bonne régénération !

  • Tsu Nami dit :

    Outch le chou ça n’a pas l’air d’être ton copain. C’est chouette de lire tes expériences dans une alimentation plus saine, tout en étant à l’écoute de son corps.
    Moi je suis une vrai mauvaise élève en nutrition. Pourtant j’aimerai ne manger que des fruits et des légumes, enlever complétement la viande de mon alimentation. Ne manger que du bio et du local (ou de saison) mais je vais le faire 2 jours et puis plus rien. Je ne sais pas pourquoi, je n’ai pas ta persévérance je crois ^^
    J’adore manger en plus, et puis étant enceinte je crois que je ferrai mieux de remettre ces choix à plus tard. En rentrant dans mon 3 eme trimestre je rencontre les problèmes de digestion, de ballonnements et de brûlures œsophagienne, choses que je n’avais jamais eu auparavant o-O’ … et quand je regarde ce que je mange et ce qui me provoque en général ces symptômes je me dit que ce n’est pas un hasard (pâtes, viandes, bonbons, etc …)
    ça me fait réfléchir …

    a bientôt !

    • Philosophine dit :

      Coucou Tsu Nami,

      Arf, oui dur ce chou rouge…. j’en ai mis du temps à le digérer. Je comprends pour le changement d’alimentation, ce n’est pas facile, mais quand on est au pied du mur, on a plus trop le choix. Je pense que pour ne pas se frustrer, il faut y aller tout doucement et lorsque le corps commence à se nettoyer, petit à petit il n’a plus envie d’ingurgiter des poisons 🙂

      Bon courage à toi pour la suite ! Bisous 🙂

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