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Jour 100 ! L’heure du bilan #defides100jours

By Philosophine | Défi des 100 jours

l'heure du bilan

​Hey ! L’heure du bilan a sonné ! Nous sommes officiellement arrivés au bout de ce défi des 100 jours pour libérer son rapport à l’argent et vive son abondance. À l’heure où j’écris ces lignes, je suis sous les tropiques à me faire dorer la pilule, sirotant une délicieuse coco fraîche. Je suis devenue millionnaire, j’ai acheté quelques villas avec piscine et j’ai fait 5 fois le tour du monde.

Youhou Philo, redescend sur Terre !

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Bilan des 75 jours : vivre l’instant présent

By Philosophine | Défi des 100 jours

instant présent

Le défi des 100 jours​ va trop vite pour moi. Certains thèmes me chamboulent. Je n’ai pas le temps d’intégrer ces nombreuses prises de conscience sur moi-même et mes croyances.  Alors j'essaie de me connecter le plus possible dans l'instant présent.

À l’issue des 100 jours, je vais donc reprendre le défi à zéro, reprendre chacun des thèmes en prenant mon temps, en veillant à bien intégrer chacune des leçons avant de passer à la suivante. À ce rythme, il y a des chance que mon défi des 100 jours se transforme en défi des 1000 jours. Mais je déteste rester en surface des choses, ce que je fais actuellement sur certains thèmes.  

Depuis le dernier bilan, de nombreuses questions se sont portées sur les projets de vie et leur manière de les réaliser. Ces questions ont soulevé des problématiques dont je ne suis pas encore capable de regarder en face. Elle me ramènent à mes échecs et à mes difficultés à avancer au quotidien. Alors j’ai préféré survoler ces thèmes pour le moment. 

En parallèle de ce défi, je mène une quête personnelle qui m’amène à mieux me connaitre. Et je sens que beaucoup des thèmes qui me posent problème sont directement liés à cette quête. Ce n’est que lorsque celle-ci aura atteint un stade avancé que je pourrai savoir ou je vais et établir de réels projets de vie. Chaque chose en sont temps.

Si tu souhaites te lancer dans l’aventure, je t’invite à commander le cahier d’exercices de Lilou et Christian. Il sera ton guide durant les 100 prochains jours.

instant présent

​L'exercice de l'instant présent

Durant les 25 premiers jours du défi, j’étais incapable de me connecter au sentiment d’abondance. Rien ne se passait, c’était le calme plat. Petit à petit, grâce aux exercices proposés et aux prises de conscience, mon état vibratoire s’est élevé, jusqu’à recevoir à nouveau ces petits cadeaux de la vie. Même si ça reste encore très fragile actuellement. Il faut du temps pour reprendre confiance en soi et en la vie.

Parmi ces exercices, il y en a un simple et puissant que j’ai envie de partager. Posez-vous la question suivante : 

Me manque-t-il quelque chose dans l’instant présent ? 

En ce moment présent, j’écris et partage avec vous ces petit instants de ma vie. Un rayon de soleil illumine ma chambre, espace agréable et lumineux. Mon chat, maître en l’art de l’instant présent, assis à mes côtés, regarde le linge qui sèche se balancer au rythme du vent. Je n’ai ni froid, ni faim. En cet instant précis, je suis bien, je ne manque de rien. 

Même si mon frigo est à moitié vide, même si mes comptes sont au plus bas, même si mes rentrées du mois sont catastrophiques, même si je ne sais pas où je vais… en cet instant précis, je ne manque de rien. 

Quand on y réfléchit, les moments de réel manque dans une journée sont minimes. Si je sors, qu’il fait froid et que je ne possède pas les vêtements adéquats, je vais ressentir le manque d’un manteau bien chaud. En cet instant précis, le manque est justifié. De retour au chaud chez moi, le manque aura disparu sauf si je le fais perdurer en pensant à ma prochaine sortie. La pensée de manque dans le futur (proche ou lointain) nous hante bien plus que le manque en lui-même.

En faisant cet exercice le plus souvent possible, l’esprit de manque disparaitra au profit de l’esprit d’abondance. 

« Il existe une loi naturelle d’abondance qui s’applique dans l’univers tout entier. Cependant, elle ne franchira jamais le seuil de la croyance au manque et à la limitation. »

C’est sur cette citation de Paul Zaiter que je vous quitte aujourd’hui.défi des 100 jours. Dans la suite des mes aventures, je vous partagera ma dernière prise de conscience : mon expérience de n'est pas celle de mes parents.

Mon expérience de vie n’est pas celle de mes parents #défides100jours

By Philosophine | Défi des 100 jours

dettes

Plus de 50 jours se sont écoulés depuis le début du défi des 100 jours. Je vous avais promis des comptes-rendus réguliers mais en pratique, ce n’est pas si simple. Ce ne sont pourtant pas les thèmes et les idées qui manquent ! Si vous voyez le nombre d’articles entamés qui stagnent en mode « brouillon »… Chaque jour du défi donne de nouvelles pistes à explorer et il faudrait y consacrer bien plus de temps qu’une journée pour en faire le tour et intégrer les prises de conscience.

Je me sens dépassée par l’ampleur de la tâche. 

Mais j’ai quand même envie de vous partager certaines de mes réflexions et révélations, même si elle ne suivent pas l’ordre du défi. Peu importe après tout. Je pense d’ailleurs continuer à travailler sur le thème de l’argent au delà des 100 jours car c’est un thème lourd avec beaucoup de pistes à creuser. Et j’ai besoin de prendre mon temps. 

Je pensais que le thème des dettes, abordé dans le cahier d’exercices, ne me concernait pas. Je ne dois d’argent à personne et personne ne m’en doit. Jusque là tout va bien. Mais je n’avais pas prévu, qu’en parler avec ma mère engendrerait une grosse prise de conscience.

​Mes parents et les dettes

J’ai toujours su que mes parents avaient eu à un moment donné de grosses dettes à cause des lubies de mon père. J’ai su aussi qu’une âme amicale s’était proposée de prêter une grosse somme d’argent à ma mère pour rembourser ces dettes.

Mais j’avais aucune idée du montant exact. Non pas qu’il m’ait été caché, mais à l’époque, je n’étais pas spécialement familière les nombres à 5 chiffres. C’était trop abstrait pour moi. Je n’imaginais pas que la dette ait été aussi importante.

Nous avons discuté de cette somme et de tout ce qui est lié et j’ai compris que les galères financières que nous avons traversées étaient les conséquences non pas de la malchance, non pas de l’incapacité de mes parents à gagner de l’argent, non pas d’un manque de travail… mais des folies de mon père. L’argent qui rentrait servait en partie pour réparer ses bêtises, pour acheter alcool et tabac au lieu de nous nourrir, nous vêtir… Ce qui années après années, a engendré fatigue, désespoir, misères matérielle et affective.

De cette expérience sont nées dans ma petite tête des croyances limitantes telles que :

  • l’argent se gagne difficilement
  • il faut travailler beaucoup pour pouvoir survivre
  • le travail est une corvée dans laquelle on ne peut pas s’épanouir

​Si tu souhaites te lancer dans l’aventure, je t’invite à commander le cahier d’exercices de Lilou et Christian. Il sera ton guide durant les 100 prochains jours.

dettes

Mon expérience n'est pas celle de mes parents

Parler avec ma mère de son expérience de vie a provoqué un déclic en moi : mon expérience à moi n’a rien avoir avec celle de mes parents !

Certes, j’ai peu d’argent, j’ai pas de réserve, je n’ai pas de biens, ni de ressources en cas de coups dur… mais je ne traine pas d’horribles boulets. 

À cette pensée, je me suis sentie tellement soulagée ! Comme si je m’étais délestée d’un gros fardeau imaginaire. Un fardeau qui ne m’appartenait pas. 

Je n’ai pas de dette, je ne dois rien à personne. Je n’ai pas les huissiers qui viennent régulièrement frapper à ma porte.

Même si je dois faire extrêmement attention, j’arrive à gérer mon budget, je n’ai jamais été dans le rouge.

Je n’ai pas la folie des grandeurs, j’apprécie la simplicité de vie.

Je n’ai rien à gérer (commerce), rien à entretenir (maison), pas de bouche à nourrir (enfants) si ce n’est que la mienne et celles des chats.

Tout l’argent qui rentre qu’il soit issu des aides ou de mon propre travail est pour moi (une fois mes charges déduites bien sûr), je suis libre d’en faire ce que je veux.

​Un décalage entre la réalité et mes croyances

Et si j’arrêtais de calquer ma vie sur celle de mes parents ? Car en définitive, elles ne se ressemblent pas du tout. Je pars de zéro mais pas de « moins » quelque chose et je trouve que c’est déjà une réelle chance. Mes bases ne sont pas aussi catastrophiques que je le pensais.

Je perçois mieux à présent le décalage entre mes croyances issues du schéma familial et de la réalité dans laquelle je me trouve actuellement. 

Je ne sais pas encore où va me mener cette prise de conscience mais je sens que j’ai encore fait un pas en avant.

​Et vous ? Avez-vous l’impression de « calquer » le schéma familial de vos parents ? Vous êtes-vous déjà penché sur ce sujet ?

​Le dernier article de cette série sera consacré au bilan des 100 jours​.

Le choix des intentions #défides100jours

By Philosophine | Défi des 100 jours

​Lorsque j’ai déballé mon cahier d’exercices du défi des 100 jours sur l’abondance, j’étais super enthousiaste. Je trouvais l’idée géniale, les thèmes des exercices très intéressants. J’avais hâte de faire le choix de mes intentions et de me lancer dans cette aventure. 

Et puis, au fil des jours, l’excitation du début est retombée, les doutes ont commencé à envahir mon esprit : 

« De toute façon, c’est pas un cahier d’exercices qui va changer les choses ! »

choix des intentions
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